24 avril 2018
Ouest-France 22/03/2018
À Notre-Dame du Marillais, le choeur a donné un concert exceptionnel.
Environ 120 personnes sont venues, samedi soir, en la chapelle mariale de Notre Dame du Marillais, au concert du Choeur d’hommes d’Anjou, dirigé par Bernard Chérel. Il était accompagné au piano par Muriel Stip, professeur au Conservatoire de Tours.
La première partie était dédiée à des chants sacrés des cultures orthodoxes, chrétiennes et juives. Parmi ceux-ci, Aimons toujours, extrait d’un poème des Contemplations de Victor Hugo, qui n’avait « plus été interprété depuis 80 ans ».
Après l’entracte, les textes profanes l’ont emporté sur le religieux, comme l’Hymne à la nuit de Hippolyte et Aricie, de Jean-Philippe Rameau. Une pièce créée en 1733, dont la musique fut à nouveau rendue célèbre grâce au film Les choristes.
En fin de programme, le choeur a fait entendre La mer de Charles Trénet, et surtout Nathaliede Gilbert Bécaud, un final chanté « à la russe ». À en faire vibrer les voûtes de la chapelle, et conquérir un public applaudissant à tout rompre.